Muriel La Reine Belge De L’Inventivité Sexuelle (Suite De Muriel N’Arrêtera Jamais De M’Étonner Et C’Est Tant Mieux)

Le lendemain après une bonne douche, je passe le reste de la journée avec mon nouveau slip en cuir. Dès que Muriel a une petite envie elle ouvre, plus ou loin grand, la fermeture éclair de mon slip et me caresse, me lèche, me suce ou me doigte selon son envie du moment. Je ne suis pas ultra fan du cuir directement sur ma peau par contre ça met ma bruxelloise dans un tel état que malgré tout j’adore.

Après un passage rapide au marché, je vais nous préparer de quoi déjeuner quand Muriel exige que j’enlève mon pantalon et mon t-shirt pour ne plus rien porter d’autre que le cadeau qu’elle m’a offert la veille. Pendant que j’épluche des légumes, elle glisse sa main entre mes jambes, ouvre entièrement la fermeture éclair et laisse mon sexe pendouiller pour me caresser les fesses.

Rapidement ma bite grossi et se tient droite surtout que maintenant ses mains sont dessus et sur mes couilles alors que sa langue darde ma rosette pour la faire céder. J’ai besoin de récupérer quelque chose dans le placard derrière moi mais je ne préfère pas bouger pour continuer à profiter de ses mains et sa bouche si douées.

Quand elle sent que mon petit trou est prêt, elle enfonce tout doucement son index dans mes entrailles et le fait coulisser. Quand son majeur m’envahit lui aussi je lui demande de continuer mais je me retourne pour récupère les épices dont j’ai besoin. Muriel, qui ne rate jamais une bonne occasion, continue à faire coulisser ses doigts en moi et m’enfonce au plus profond de sa bouche.

Elle se baise la bouche avec ma bite, je sais que ça l’excite que je continue de cuisiner pendant ce temps, mais franchement j’ai du mal et surtout j’ai peur de manipuler un si grand couteau. Surtout qu’elle me suce en gorge profonde ou cale les mouvements de ses doigts sur ceux de sa bouche. A force de taper ma prostate je préfère la prévenir que je risque de rapidement jouir même si je sais qu’elle adore déglutir vicieusement mon sperme.

Mais je ne m’attendais pas à ça, elle immobilise non seulement sa bouche mais aussi ses doigts qu’elle retire l’un après l’autre. Elle continue à me donner quelques coups de langues mais en évitant mon gland et mon frein et quand elle se révèle, le visage et le t-shirt, recouvert de sa propre salive, elle m’embrasse sur la bouche. Alors qu’elle referme le zip de mon slip, en évitant de me coincer la bite, elle me dit:
« Je préfère que tu gardes des forces pour après mangé! »
Ce qui ne l’empêche pas, de temps en temps, de continuer à me tripoter par dessus ou en dessous du cuir.

Je me dépêche de finir de préparer le repas pour arriver le plus rapidement possible à la sieste crapuleuse. Mais Muriel traine au téléphone avec différentes personnes, depuis que le plat est prêt j’ai eu le temps de faire tous mes mails, de jouer à un célèbre jeux avec des bonbons à exploser et même de fumer une clope.

Quand elle pose enfin son téléphone et vient me rejoindre pour passer à table, mon excitation est totalement redescendu mais elle revient rapidement car elle vient manger entièrement nue.
Régulièrement pendant le repas son pied vient tripoter mon entrejambe, à un moment j’ouvre la fermeture éclair pour sentir son extrémité directement caresser mon sexe, elle sourit de satisfaction. J’étais un peu retissant de son cadeau au début mais je l’apprécie de plus en plus.

Quand nous sortons de table il est plus de 17h, au lieu de l’amener au lit je lui saute dessus dans le salon. Nos mains se baladant sur nos corps alors que nos lèvres s’occupent du visage de l’autre. Elle a envie que je dévore sa chatte totalement épilée, je ne me fais pas prier plus longtemps et je me jette sur ses lèvres intimes. Elle essaye de se mettre en 69 mais je préfère m’occuper à 100% d’elle.

Je me jette directement sur son clito que je maltraite un bon moment alors que mes doigts se baladent de ses fesses à ses lèvres intimes. Puis je pose ma langue au dessus de sa rosette et je la remonte doucement en lui titillant d’abord le petit trou, puis ses lèvres et le finis sur son petit bouton qui n’arrête pas de gonfler et palpiter.

A chaque fois que ma langue passe et repasse, j’insiste un peu plus sur ses trous. Quand je les sens bien ouverts, j’introduis mon index et mon majeur dans sa grotte humide et mon pouce dans ses entrailles. Je les fais rentrer et sortir au même rythme alors que mes lèvres pincent son clito et que ma langue n’arrête pas les allers retours dessus.

Mes doigts s’enfoncent, dans ses deux orifices avec des mouvements de vagues. Vu ses gémissements et la puissance avec laquelle elle me tire les cheveux ou appuies sur ma tête pour augmenter la pression de ma bouche sur son petit bouton, elle doit apprécier. Mes doigts sont de plus en plus humides, j’adore le son de clapotis qu’ils font dans ses trous.

Pour être plus à l‘aise je me mets en 69 sur elle même si je reste trop haut pour qu’elle me suce. Elle ouvre quand même le zip de mon slip en cuir, elle caresse mon gland qui est venu se loger entre ses petits seins. Elle recueille avec son index, les quelques gouttes qui coulent de mon méat et me masse la rondelle avec. Comme elle, quand je suis bien excité je mouille du cul alors rapidement Muriel fait aller et venir son doigts en moi au même rythme que mes 3 doigts dans ses 2 trous.

On sonne à la porte, je n’y prête pas attention mais ma bruxelloise, au lieu d’en rentrer un deuxième, retire son doigts qui est en moi alors que les miens et ma bouche s’excitent encore plus. Elle me demande d’arrêter et comme je suis au dessus d’elle, je me lève pour aller ouvrir. Ce n’est que quand je vois le vendeur su sex shop d’hier en face de moi que je réalise que je porte uniquement le slip en cuir mais qu’en plus il est ouvert et expose d’un côté mon trou déjà bien ouvert et de l’autre ma queue raide et dure avec une goutte transparente qui perle au bout.

Il me regarde de haut en bas et une nouvelle fois de bas en haut, je vous laisse deviner quelles parties de mon corps il a le plus lorgner. Il se penche vers moi pour me faire la bise en mettant une main sur mon épaule et l’autre sur ma bite qui ne débande pas pour autant. Puis il rentre et se dirige vers Muriel qui, elle aussi, est restée complètement nue en lui disant:
« Hummm, hier j’avais pas fait attention que ton homme était aussi miami! »
Une fois qu’il l’a embrassé, il enlève son t-shirt et rajoute avec sa voix toujours assez efféminée:
« Il n’y a pas de raison que je ne sois pas aussi à l’aise que vous. »

Une fois entièrement nu, il s’assoit sur le fauteuil en face de Muriel. Il est plus grand et plus fin que moi, son corps n’a aucun poil mis à part une barbe de 3 jours et des cheveux qui lui tombent sur les épaules mais rasé sur le côté. Ses fesses sont un peu plates à mon goût et son sexe, qui est tout mou, est orné d’un cockring doré et à un prépuce très long. Ses couilles, elles aussi sont complètement lisses mais pas de la même longueur par contre elles me semblent bien pleine.

Il se tourne vers Muriel et lui demande:
« Vous faisiez quoi? »
Elle me regarde et nous rigolons au même moment puis elle att à pleine main mon sexe qui commencé un peu à retomber et dit à son ami:
« On va te montrer »
Elle me fait reprendre exactement la même position sur elle que tout à l’heure, elle place bien ma bite entre ses deux seins, elle caresse mon gland et mon frein du bout de l’ongle alors que le majeur de son autre main m’envahit déjà .

Ma main reprend aussi sa position dans ses trous alors que je sens une autre paire de mains me caresser les fesses et un autre doigt venir s’enfoncer en moi. Ça doit être le vendeur du sex shop, dont je ne connais toujours pas le prénom, qui s’occupe aussi de moi alors que je me déchaîne encore plus dans la moule et le cul de ma bruxelloise. C’est très agréable d’avoir 4 mains sur mon corps qui s’occupent uniquement de mon plaisir.

Comme le canapé n’est pas assez large pour nous trois je propose, entre 2 gémissements, de continuer dans la chambre. Je retire, sans ménagement mais elle aime ça, mes doigts des orifices bruxellois que je préfère. Je sens le doigt, en fait surtout l’ongle, de Muriel se retirer tout doucement par contre celui de l’inconnu reste en moi pendant que je le lève et me suit jusqu’à la chambre.

Ma copine nous dit d’avancer et sans même réfléchir je me retrouve allongé en 69 sur cet homme que je vois pour la deuxième fois. Je me rend compte que maintenant, qu’il a rajouté un second doigt qui lui aussi gigote dans mes entrailles. En plus de s’occuper de mes fesses il me suce mais un peu trop brutalement à mon goût, moi aussi je gobe sa bite mais j’ai beau lécher chaque millimètre de sa peau, me concentrer sur son frein et son gland, il n’y a rien à faire sa tige ne se raidit pas vraiment.

Quand Muriel nous rejoint dans la chambre, elle tire de sous le lit sa boîte à malice et me chuchote à l’oreille:
« Occupes toi seulement de son cul, Greg est moins sensible de la bite, je t’expliquerai »
Je viens d’avoir 2 informations importantes, je connais enfin son prénom et contrairement à ce que je pensais il n’est pas insensible à ma langue et ma bouche.

Ma très sexuelle bruxelloise veut aussi s’amuser alors elle sépare ma bouche du sexe de Greg et nous place en triangle. Avec ses deux mains Muriel ouvre les fesses de son ex beau frère et lui bouffe la rondelle qui semble naturellement ouverte. Alors qu’elle me donne sa chatte complètement lisse à dévorer pendant que notre invité me suce et me doigte toujours mais maintenant à 3 doigts.

A un moment je dégage ma tête pour reprendre ma respiration et je vois que la bite de Greg a commencé à grossir légèrement, il me semble pas trop long mais plutôt large. J’espère qu’il va réussir à avoir une vraie érection parce que ces derniers jours le double gode de Muriel m’a donné très envie d’accueillir une bite dans mes entrailles. Alors qu’avec mes doigts je m’occupe du sexe de ma belle je la regarde enfoncer tous ses doigts, sauf le pouce, dans le cul de notre compagnon de baise.

Excité de tout ce spectacle je tourne la tête vers mon entrejambe pour voir Greg se l’enfoncer le plus profondément possible dans la bouche tout en me malaxant les couilles, dommage que je n’arrive pas à voir ses doigts qui glissent entre mes fesses. Je laisse mon index et mon majeur dans le con de Muriel pendant que mon pouce lui masse la rondelle et je dévore avec mes lèvres et mes dents son petit bouton gonflé. Bien que tous les bouches soient occupées nous gémissons à l’unisson.

Au bout d’un moment ma bruxelloise, qui n’en a jamais assez, casse le triangle, je retire mes doigts délicatement de ses trous, alors que la main de Greg me possède toujours elle m’allonge au centre du lit sur le dos, il suit le mouvement pour ne pas me vider mais Muriel lui demande de me libérer. Il retire son annulaire délicatement mais le salaud sort les deux autres d’un seul coup ce qui me tire un petit cri qu’elle étouffe en m’embrassant goulument.

Puis elle se penche sous le lit, exposant sa croupe, je ne peux m’empêcher de lui caresser les fesses et de la sodomiser avec 2 doigts, elle fait exprès de rester plus longtemps dans cette position. Greg profite de cette interruption dans les projets de son ex belle soeur pour aspirer ma bite au maximum et encore plus la lubrifier de sa salive. Au bout de plusieurs minutes elle remue ses fesses pour que je décule et revient vers nous avec le double gode et le lubrifiant.

Elle enfonce un des deux glands dans sa chatte dégoulinante qui aspire le sexe en plastique assez profondément puis elle pousse la tête de Greg qui laisse sa main à la base de ma queue dégoulinante de sa bave. Quand Muriel vient s’assoir sur moi, instinctivement il dirige mon gland bien lubrifier, par ses soins, sur la rondelle déjà entrouverte de ma belle. Pendant qu’elle s’assoie tout doucement sur moi je sens, non seulement ma queue être bien compressée dans son cul mais aussi les veines en plastique qui ornent le sexe qu’elle s’est enfoncée dans le con.

Je ne sais pas si Greg comprend les gémissements de son ex belle soeur qui est remplie dans ses deux trous ou si c’est son propre désir mais il vient s’assoir sur mon torse et se cambre pour présenter son postérieur à celle qui a 2 queues en elle. La connaissant assez bien je suis sûr qu’elle est entrain de lui enfoncer le deuxième gland dans le cul. Une fois qu’ils occupent, tous les deux, la bite en plastique, Muriel se met à onduler le bassin ce qui fait vriller mon sexe qui la sodomise et masse mes couilles grâce à ses magnifiques fesses.

Notre complice du moment commence un mouvement de recule qui lui permet non seulement de s’enfoncer un peu plus le gode dans les entrailles mais aussi à travers la bite en plastique baiser encore plus profondément la chatte de son ex belle soeur. Ce qui est assez ironique pour un mec qui se dit 100% gay et qui ne « supporte pas l’odeur du moule, qui porte bien son nom » d’après lui.
Muriel est doublement baisée, Greg se remplie les entrailles pendant que je profite du cul de ma bruxelloise et que je caresse le sexe de notre invité qui a de plus en plus une belle taille et me donne encore plus envie.

Quand je soulève la tête pour essayer de téter le gland de Greg, Muriel qui cherche toujours à aller plus loin nous annonce que l’on change de position. Elle demande à son ex beau frère de se dégager mais tout en gardant son cul rempli par le gode. Pendant que l’autre gland du gode sort lentement de sa chatte elle gémit de plus en plus fort. Une fois vidée d’un trou elle se soulève pour me faire sortir d’entre ses fesses mais immédiatement elle s’empale le sexe, qui est bien ouvert mais toujours aussi chaud et accueillant, sur le mien.

Elle tourne sur elle même et demande à Greg de se mettre en miroir avec moi. Elle glisse les jambes du vendeur sous les miennes et au fur et à mesure qu’il s’approche de moi elle me sodomise avec l’autre gland du gode. Je suis tellement excité et mouillé que ça rentre tout seul. Une fois que mes fesses poilues sont presque collé aux fesses imberbes de son ex beau frère, elle commence un mouvement de haut en bas puis de bas en haut pour faire coulisser ma queue, qui a encore plus gonflé depuis cet intrusion, entre ses lèvres intimes qui perlent de plaisir. Elle tourne la tête vers moi et me dit fièrement entre 2 gemissements:
« Tu n’as même pas eu besoin de lubrifiant! »

Quand elle se soulève bien je vois qu’elle est entrain d’astiquer le frein et le gland de Greg qui en fin de compte à une queue plus large que la mienne mais bien moins longue. N’empêche ce « 100% gay » se laisse facilement doigter et branler par une femme! Les homos se n’est plus ce que c’était ma petite dame… surtout qu’il se met à gémir encore plus fort quand Muriel s’assoit complètement sur moi et se penche pour lui lécher le gland. Elle est tellement excité que je sens que mes poils pubiens commence à être humide de son plaisir.

Je me fais pilonner le cul grâce aux mouvements de Greg, presque au même rythme que Muriel monte et descend sur ma tige. Je prends un plaisir fou à remplir en même temps que je suis rempli. Je suis tellement excité que mes couilles commencent à remonter, Muriel qui les malaxe de temps en temps s’en rend compte et se soulève tout doucement jusqu’à ce que mon gland, après un baiser sur ses grandes lèvres se retrouve à l’air libre.

Elle continue de branler son ex beau frère d’une main et de l’autre elle se doigte. Je n’ai plus que le droit au gode qui j’ai l’impression me pénètre encore plus profondément. Ce n’est pas une impression parce que maintenant non seulement nos fesses sont plaquées l’une contre l’autre mais avec ses 2 mains, Muriel rassemble nos bites et les branle, elles aussi l’une contre l’autre.

Elle nous enjambe et met un pied derrière moi et un devant Greg, elle réuni encore une fois nos deux queues et les présente à l’entrée de son con qu’elle caresse avec. Je la sens couler sur ma queue, mon collègue de sodomie manifeste son refus mais elle lui dit:
« Chuuuut! Si tu me laisse faire je te promets qu’après mon Romain te pilonnera le cul comme tu ne l’as pas été depuis longtemps. »
Dès qu’elle finit de parler, elle plie un peu plus les genoux et fait rentrer très lentement nos deux glands, un peu en décalé mais entièrement.

J’ai rarement vu Muriel avec un tel plaisir sur son visage, elle continue à nous avaler doucement. Elle ne gémit pas mais se mord les lèvres pour ne pas hurler son plaisir. Une fois qu’elle est complètement empaler sur nous j’essaye un peu de me pencher pour voir ses lèvres intimes complètement dilatées par cette double pénétration vaginale, mais la position me permet juste de l’imaginer. Surtout qu’elle commence à onduler du bassin et que Greg en fait autant pour faire bouger le gode qui nous envahi le cul à tous les deux.

C’est la première fois que je vis une telle position et je sens qu’entre mon excitation inassouvie depuis notre bonjour en amazone de ce matin, mon cerveau qui bouillonne mais surtout mon cul rempli par une bite en plastique de très belle taille et ma queue pressée contre une autre et compressé par la chatte de Muriel je ne vais plus tenir très longtemps. Heureusement je sens les muscles vaginaux de Muriel se contracter autour de nous, elle ne mord plus ses lèvres mais hurle des
« Maman »
de plus en plus aigus. A la deuxième compression je ne me retient plus et lâche une première giclée très violente qui fait encore plus crier Muriel, elle met deux doigts sur son clito qu’elle tape. Immédiatement un jet très clair sort d’entre ses grandes lèvres et vient tremper la couette, je l’accompagne d’un autre jet de sperme. A chaque fois que du liquide sort de son corps j’ai l’impression de gicler aussi même si c’est à 6 reprises que Muriel inonde les draps et nos corps.

Heureusement Greg arrête de faire onduler le gode en nous, j’ai l’impression d’avoir la rondelle en feu, Muriel reste empaler sur nous un moment ce qui me permet plus ou moins de reprendre nos esprits. Je sens que je commence à ramollir, mais mon compagnon de sodomie aussi alors que je ne l’ai pas senti éjaculer. Muriel se soulève tout doucement et en même temps que nos glands sortent un flot de cyprine, tacheté de blanc, coule de sa chatte. Vu la quantité de sperme mélangé, il a aussi du éjaculer bien que sa bite soit toujours assez raide.

Quand Muriel est debout j’en profite pour libérer mon cul alors que Greg, toujours en demi molle, le garde en lui. Je me dis qu’il n’a peut être pas joui alors j’empoigne sa bite et celle en plastique et je les remue les deux. Il recommence tout de suite à gémir et de plus belle mais rapidement il me demande d’arrêter de le branler alors je continue uniquement de lui goder les entrailles.
Au bout de quelques minutes ma bruxelloise me conseille d’arrêter pour reprendre des forces parce que je dois encore sodomiser Greg (plus tard elle m’a expliquer qu’il ne peut plus éjaculer et que c’est pour ça que son con de frère a rompu). Comme pour me motiver, alors qu’elle sait très bien que je n’en ai pas besoin parce que j’aime tous les culs, elle ajoute:
« Tu sais bien que j’ai promis! »

Une grosse demi heure après, j’ai tenu la parole de ma belle. Après qu’ils m’ai lubrifié de leurs bouches, la queue, j’ai sodomisé Greg très violemment, comme je peux le faire avec Muriel, il est plus serré que je ne l’imaginer. Ne voulant pas en rater une miette elle a posé sa tête sur les fesses de son ex beau frère et nous malaxer les couilles. De temps en temps elle a sorti ma queue pour la sucer pendant qu’elle la remplacer par un coté du double gode dans les entrailles de Greg.

Une fois, elle a pointé mon gland sur la rondelle de Greg, toujours rempli de plastique et lui aussi à eu le droit à sa double. Quand il a senti ma queue gonflé il m’a demandé de me vider dans sa bouche mais Muriel à appuyer sur mes fesses pour me maintenir en lui et remplir ses entrailles. Quand j’ai fini par déculer elle a plongé deux doigts dans les entrailles de son ex beau frère, elle les a ressorti recouvert de mon jus et les a donné à lécher à Greg qui s’en ai donné à coeur joie. Elle est allé encore 3 fois à la pêche au sperme, à la fin ses doigts était propre mais il léchait quand même.

Nous n’avons plus revu Greg, mon histoire avec Muriel a fini 6 mois plus tard mais la débauche sexuelle est resté jusqu’à la fin et même encore une fois après! Mais ça sera pour plus tard…